16/05/19
Vie et santé
Différents types de dommages à l’ADN attaquent constamment l’intégrité de notre génome. Les cassures double brin de l’ADN sont les plus dangereuses. Ces dernières sont en effet à l’origine des translocations chromosomiques et de cancers. Pour y remédier les cellules ont développé plusieurs mécanismes pour détecter, signaler et réparer ces dommages.
La transcription est une des premières étapes de l’expression des gènes conduisant à la synthèse des protéines. Au cours de ce processus, l’ADN est « lu » (transcrit) par une enzyme (l’ARN polymérase II) qui produit alors un brin d’ARN qui servira ensuite de support pour la production d’une protéine spécifique. Dans une précédente étude, l’équipe d’Evi Soutoglou avait montré qu’une cassure de la molécule d’ADN provoque la dissociation de l’ARN polymérase II de la molécule d’ADN et entraîne l’arrêt total de la transcription. Ils avaient notamment montré le rôle clé de la protéine kinase dépendante de l’ADN... (lire l'intégralité de l'article sur le site de l'IGBMC)
Pour aller plus loin lire aussi notre article : "Un mécanisme de réparation de l’ADN décrypté"