Quand des « mini-protéines » mettent en cage des métaux

10/01/20

Sciences et technologie 

[The Conversation] Naturellement produits par certains organismes, des peptides (« mini-protéines ») à forte affinité pour les métaux ouvrent de nouvelles perspectives pour la santé, la gestion de l’environnement...

Lorsque deux molécules ont une affinité l’une pour l’autre, leur rencontre peut mener très loin… C’est en tout cas ce que prouvent les histoires des couples formés par un peptide, c’est-à-dire une « mini-protéine », et par un ion métallique. Des couples que l’on qualifie de « complexes », et pour lesquels les chercheurs de Nancy et de Strasbourg envisagent diverses applications dans le domaine de la nutrition, de la santé ou encore de l’environnement.

Nutrition, santé, environnement…

En complexant les métaux et en formant une cage autour d’un ion métallique, les peptides chélateurs de métaux ouvrent donc de nombreuses pistes. L’objectif visé dépend de la nature de l’ion métallique complexé.

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