10/12/21
Vie et santé
Stéphane Gasman et son équipe de l’Institut des neurosciences cellulaires et intégratives ont mis en lumière un effet anti-sécrétoire du pasiréotide sur des cellules tumorales humaines de la glande médullosurrénale. Ces résultats sont publiés dans Cancer Letters.
Depuis maintenant plus de 20 ans, Stéphane Gasman et son équipe explorent les mécanismes moléculaires fondamentaux de la sécrétion cellulaire dans les systèmes nerveux et neuroendocrines. Ils ont récemment mis en application cette expertise en se penchant sur une situation pathologique impactant ces mécanismes : le phéochromocytome, une tumeur neuroendocrine issue des cellules chromaffines de la glande médullosurrénale.